VILLA W | Philippe Starck

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Un refuge secret

La villa historique de la baie de Gigaro qui nichait son architecture modernisme dans la végétation luxuriante de La Croix Valmer depuis sa construction en 1966, a été réimaginée par Philippe Starck, pour devenir l’une des plus belles suites privées de l’hôtel. La Villa W, du nom des îles qui lui font face, jouit d’une vue époustouflante, à 180 degrés sur la mer Méditerranée, celle-là même que l’on a depuis la terrasse principale de Lily of the Valley.

Au cœur de son propre parc, entourée de végétation et à l’abri des regards, disposant d’un accès et d’un parking privés, la Villa W porte la promesse d’un séjour discret et profondément ressourçant et offre l’expérience d’une retraite bucolique d’exception. Sur toute la longueur de la terrasse, la piscine - un couloir de nage de 17 mètres de long-, apporte une touche colorée et joyeuse.

Son parc étant dans le prolongement direct de celui de Lily of the Valley, ses hôtes peuvent aussi très facilement profiter de tous les services de l’hôtel, rejoindre le restaurant ou le Shape Club en toute simplicité au gré de leurs envies. Un accès de service permet également aux majordomes d’intervenir discrètement pour assurer une expérience unique et sur-mesure.

Une villa réimaginée par Philippe Starck

« Nous avons tous rêvé d’un cabanon, d’un bungalow, d’un abri de pêcheur, du bord de la mer. Plus besoin de le rêver, nous l’avons fait.

Une Love Shack dans la pinède, surplombant la Méditerranée de la Croix-Valmer.

Pour les amoureux, forcément. 

Mais Villa W n’est pas une simple Love Shack, nous avons imaginé la plus mythique des Love Shack, pour les plus mythiques des amoureux, comme celle de Ray et Charles Eames située à Pacific Palissade en 1949.

Un symbole de créativité, de culture, de liberté, d’intelligence… Et de tendresse.

De Lily of the Valley à L.A., un voyage imaginaire. » Ph.S  

Respectueuse du patrimoine et de l’environnement, la renaissance de la Villa W, conçue par Philippe Starck, évoque les constructions de Ray & Charles Eames ou certaines réalisations de Jean Prouvé. L’ascétisme d’un simple rectangle formant la toiture à deux pentes se retrouve dans la sobriété́ structurelle et l’économie des matériaux - béton, verre, acier - utilisés dans leur plus grande simplicité́.

Les proportions du bâtiment confèrent équilibre et légèreté à l’ensemble de la composition architecturale et la longue façade vitrée au sud embrasse la végétation et la baie de Gigaro.

Les pergolas en acier combinées à la légèreté́ des baies vitrées permettent de brouiller les limites entre intérieur et extérieur faisant de la Villa W un lieu idéal pour contempler la nature tout au long de l’année.